« Il était, il n’était pas… » Un gars, son taf, ses ennuis, ses amours…
Ce livre – au rythme étrange, rapide, sans pause ni repos, sur fond post-apocalypse, d’usure et de mélancolie – nous mène dans une ville épuisée, décatie, mais qui malgré tout héberge les rares survivants du monde d’avant.
L’ambiance a quelque chose de désuet, de passée, comme si le futur nous ramenait en arrière, sur d’autres terrains que la technologie, le progrès, et tout ce qui au fond n’a fait que nous mener à notre
Un troisième tome qui – comme les autres – vous laisse un sentiment de plénitude et de douceur malgré la rudesse des évènements et le caractère affûté des protagonistes.
Le rythme est légèrement plus calme que le tome précédent, plus intimiste. Il nous permet d’appréhender le petit côté fragile de Connor – cette facette bien dissimulée derrière le masque de Majeur – et qui le rend plus accessible. La manière dont l’auteur(s) tourne les hésitations et les craintes des protagonistes quant à leur
Ce second volet est riche en rebondissements. Le rythme est effréné. J’ai ADORÉ !
La trame est originale, les retournements sont chouettes et le développement des divers pouvoirs magiques croisés sont vraiment bien trouvés et donnent des scènes impressionnantes, dignes des meilleurs films hollywoodiens. Franchement, je verrais bien l’histoire sortir au cinéma. Ce serait quelque chose !
Vraiment un excellent bouquin qui vous tire de votre vie pour vous embarquer illico dans un monde foisonnant
Ce premier tome m’a littéralement magnétisé.
Les premiers chapitres, je suis restée assez en retrait – ma réceptivité blasée par mes précédentes lectures. Du coup je n’avais pas vraiment l’esprit en harmonie avec l’histoire pourtant bien menée, au monde où magie est synonyme de pouvoir et de classe sociale élevée.
Puis est apparu le personnage masculin, Mad Rogan, et là mon attention s’est soudain retrouvée scotchée au livre. Il se dégage de ce personnage une telle force mystérieuse, une telle