Un tome riche en émotion et rebondissements. Très addictif !
Nous changeons du décor apocalyptique d’Atlanta pour un paysage plus classique, européen, presque médiéval (château oblige).
L’ambiance, au début du livre, est plus calme, plus intimiste que les tomes précédents et c’est agréable. On découvre une Kate entourée de sa nouvelle famille que sont les métamorphes. Elle semble enfin acceptée, intégrée à sa vie à La Forteresse – sa nouvelle demeure.
Oui, mais…
Tout va très vite être remis e
Contrairement aux tomes précédents, où j’arrivais rapidement à deviner les tenants et aboutissants – et à ne pas être réellement surprise par le déroulement des évènements –, ce tome-ci m’a étonné par bien des aspects. Entre autres, le nouveau pouvoir de Maeve qui est original et mené avec brio. Il y a beaucoup d’humour et de situations cocasses qui font rire et sourire. C’est rafraîchissement.
Le ton et le décor ont changé, permettant au lecteur de ne pas saturer. C’est beaucoup moins drama,
Ce troisième opus est sombre.
Oui, nan, je sais, cette série est sombre de nature, mais là nous atteignons des puits d’obscurité tels qu’il devient difficile d’envisager que le soleil puisse de nouveau briller un jour.
Cet univers, toujours plus riche et complexe, nous embarque dans les méandres d’une terrible histoire à la destinée incertaine malgré le fait qu’une prophétie – accablant les épaules de Maeve – nous dévoile le fin mot.
Les rangs se forment et je trouve que l’ambiance nous mène su
Je suis accro, accro, à crocs !!!
Ce deuxième tome est encore plus addictif que le premier.
Que d’émotions !
Ce deuxième volet en dévoile beaucoup et en même temps vous laisse avec une faim inassouvie de questions dont les réponses se font de plus en plus mystérieuses.
Ce tome a laissé derrière lui les quelques éléments qui n’avaient pu empêcher mon esprit de penser à du YA (Young adult). Même si encore une fois, par moment – et sans que je puisse réellement vous dire pourquoi –, cela
Bon, à mon sens, le tome 1 de cette série trempe beaucoup dans la YA (young adult). Elle n’est pas du tout classée comme telle dans Babelio et je suppose que beaucoup ne seront pas d’accord avec moi… Question d’interprétation probablement… Et peut-être parce qu’elle m’a fait penser à plusieurs reprises à cette vieille série TV, Buffy The vampire slayer.
Mais pour moi, C’EST DE LA YA !
Vous allez me dire « Et alors ?
— Ben, rien.
— Tout ça pour ça ?
— Ben voui… »
OK, bon, j’arrête…
J’ai terminé le tome 4 – Blessure Magique, et le tome 5 – Meurtre Magique, de la série Kate Daniels d' Ilona Andrews
Et quel régal !
Bon, je dois avouer avoir eu envie de distribuer quelques baffes dans le tome 4, devant ma frustration grandissante, suite à la tournure de certains évènements, mais pas parce que la lecture m’agaçait, bien au contraire… Je me sentais totalement happée par l'histoire et avais à cœur que ça se déroule comme je l’espérais. J’ai donc croisé les doigts très trè
J’ai lu les trois premiers tomes de la série Kate Daniels.
Et si je suis restée septique une bonne moitié du tome 1 – Morsure Magique, devant le fouillis brouillon de la trame (on a l’impression que le texte a été coupé çà et là sans suivre la logique réelle), j’ai tout de même fini par être séduite par le personnage de Kate. Par ses réparties, son humour et son caractère indomptable.
Les personnages secondaires sont attrayants. On apprend vite à les connaître et à les apprécier pour ce qu’
Romance érotique (donc pour adulte) à classer en steampunk, bit-lit.
Ce bouquin, le dernier en date, m’a vraiment beaucoup plu. Je suis tombée dessus par hasard en cherchant – plus ou moins dans le même genre – quelque chose à lire pour une lecture commune. Je l’ai donc mis dans ma PAL au passage et Hop ! dès que j’ai eu l’occasion je l’ai ouvert.
Et pas déçu du tout !
Si le style se veut au départ bon enfant avec un sujet re-revisité (jeune femme sans le sou, orpheline et prenant soin
Imaginez...
Je me dirige d'un pas décidé vers le bibliothécaire et lui demande poliment ;
— M'sieur, j'aimerais emprunter le livre sans nom.
— Quoi ? me demande-t-il avec automatisme.
— le Livre sans Nom.
Haussement de sourcil du bonhomme qui n'ose pas redemander de peur de passer pour un idiot – se demandant tout de même si je ne suis en tain de me foutre de sa gueule.
Il redresse les épaules, prend une attitude hautaine et s'apprête à taper sur son clavier. Il se fige. Que taper effectiv
Le personnage principal, Elena, une louve-garou - la seule femelle de son espèce - mène la danse de la narration. Elle possède un tempérament bien trempé, déterminé, et parfois un peu trop têtu pour son bien.
Elle s’obstine à vouloir reproduire le modèle type de ce qu’est censée être la famille modèle, alors même qu’elle sait - d’expériences malheureuses - que la réalité est bien loin du stéréotype idéal conté dans les histoires destinées à endormir la curiosité des crédules qui auraient l’idée