QUATRIÈME DE COUVERTURE :
Calamité a créé les Épiques et le destin de David est lié à leur infamie. Cœur d’acier a tué son père. Brasier lui a volé son cœur. Et maintenant, Prof, son ancien ami et mentor, a rejoint les rangs de l’ignoble Regalia.
Autrefois chef des Redresseurs, Prof s’est laissé envahir par les ténèbres qui ont tristement rendu célèbres les Épiques. Affronter Oblitération à Babilar a été la mission de trop pour lui, et tout le monde sait qu’il n’y a aucun retour possible…
Mais la rédemption des Épiques est peut-être envisageable. Megan en est la preuve. Ils ne sont pas perdus. Pas complètement. Pour cela, David est prêt à affronter le plus puissant d’entre eux pour sauver Prof. Ou tout du moins mourir en essayant.
MON SENTIMENT :
Des super héros, oui, mais très très méchant !
Même si je vous propose le commentaire du tome 3, que je viens de terminer, je vous mets la quatrième de couverture du tome 1 – Cœur d’Acier – pour vous donner une idée du monde dont il est question.
« Il y a dix ans, un éclat venu du ciel a frappé des hommes et des femmes parmi les plus malveillants, leur conférant d’incroyables pouvoirs. On les a appelés les Épiques. Leurs intentions ne sont pas bonnes… À Newcago, un Épique appelé Cœur d’Acier s’est emparé du pouvoir. On le dit invincible : aucune balle ne peut le blesser, aucune épée trancher sa peau, aucune explosion le détruire. Seuls les Redresseurs, un groupe d’humains qui ont consacré leur vie à étudier les Épiques afin de découvrir leur point faible, lui résistent. David Charleston a 18 ans. Cœur d’Acier a tué son père. Depuis, il n’a qu’une idée en tête : le venger. Et il possède quelque chose dont les Redresseurs ont besoin. Il a vu l’impossible. Il a vu saigner Cœur d’Acier. »
Et donc, pour en revenir à Calamité : Flamme alors ! Que c’était bien !
Je crois que c’est le meilleur des trois. C’est du moins celui qui m’a fait le plus rire. Bon, il faut que je vous avoue que le tome 1 – Cœur
d’Acier – ne m’avait pas plus emballé que ça. J’ai un p'tit problème avec les mondes souterrains, tunnels et grottes…De plus, tout se passe sans le soleil, puisqu’il est dissimulé par… eh bien non, je ne vous le dirais pas… (spoiler oblige)
Le tome 2 – Brasier – je l’avais trop kiffé et d’une parce qu’il y avait de la flotte – et que j’adore la flotte –, mais surtout parce que la quête de David Charleston était poignante. Il est devenu un héros, « oui, mais… et pourquoi ? » et puis la romance qui se tisse au fil des pages est absolument charmante. Mais celui-ci, le dernier de cette belle trilogie – Calamité –, est fendard à souhait.
Les répliques, réflexions et blagues « toutes pourrites » (oui, il faut le dire !) m’ont fait rire, jusqu’à l’hilarité parfois.
Il faut savoir que David Charleston est très doué pour passer son temps à faire des comparaisons étranges, saugrenues pour ne pas dire absolument impossibles. Et s’il le faisait déjà dans les deux premiers tomes, j’ai trouvé que dans ce dernier opus, elles étaient terriblement plus drôles (ou peut-être encore plus insensées).
Et pour le reste, il y a de l’action, un décor surnaturel tout aussi original que dans les deux premiers, des retournements de situations vraiment bien pensés et surprenants, et des personnages attachants à souhait, avec chacun leur caractère et leurs particularités qui font de l’ensemble un vrai petit bijou de divertissement.
Claytone Carpe
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